Les femmes qui utilisent plus d'aliments supermarchés à l'âge mûr sont plus enclins à avoir de la mémoire et à penser à la pensée. Des chercheurs de l'Université de New York sont parvenus à cette conclusion. L'étude a été publiée dans le magazine Preventive Medicine (PM).
Les aliments exagérés, les bonbons, la restauration rapide, les boissons gazeuses et les plats prêts sont pleins de graisses, de sucre, de sel et d'épices artificielles. L'analyse de plus de 5 000 soins de santé des femmes a montré que les femmes de 35 à 65 ans, dont le régime alimentaire contenait la quantité la plus élevée de nourriture trop reportée, était d'environ 20 à 35 ans plus tard.
Les plaintes cognitives sont définies comme des expériences subjectives de mémoire ou de trouble de concentration. Des recherches antérieures ont montré qu'ils peuvent précéder le développement de la démission pendant plusieurs années.
Il s'est avéré que les produits laitiers recyclés et la viande transformés sont particulièrement forts dans les problèmes cognitifs. Cependant, il n'y avait aucun lien statistiquement significatif pour les bonbons et les sauces.
Les femmes représentent environ les deux tiers de ceux qui souffrent de la maladie d'Alzheimer. La détection précoce des facteurs de risque est une priorité pour la santé publique. Cette nouvelle étude confirme que le régime d'âge moyen peut affecter la santé du cerveau après des décennies.
Les auteurs ont souligné que la réduction de la part de ces aliments dans le régime alimentaire peut être un moyen abordable de réduire le risque de réception de l'âge.
Traduction:, Euromedia24.com:-Dans