Le quotidien "Fact" écrit :
En dehors de diverses « philosophies » manipulatrices et manifestations similaires, dans quelles autres situations Nikol Pashinyan se sent-il comme un poisson dans l'eau ?
Il est évident que pour Pashinyan, le chaos, la confusion, les affrontements, les désaccords sont un environnement qui lui tient à cœur pour mener ses activités. En d’autres termes, il ne se contente pas de se sentir bien dans cette confusion, cette agitation, mais il développe activement, fait avancer son agenda, pour ainsi dire.
Il n'est pas difficile de remarquer que lorsqu'il se concentre sur un problème ou même sur les activités d'une unité d'État, il y trouve d'abord des contradictions internes (peu importe qu'elles existent réellement ou non, qu'elles soient soulignées ou non), il les exagère, les élève à un niveau superlatif, fait une déclaration ou une action choquante, puis dépense son caprice ou son caprice.
Il a besoin de situations instables, instables et conflictuelles. Le problème n'est pas seulement le 1er mars, ce n'est pas le tumulte « de velours », ce n'est pas l'invasion du bâtiment de la radio. Même après avoir pris le pouvoir, il a continué avec le même style et le même esprit. Le siège de l'Assemblée nationale et l'attaque contre le parlement en octobre 2018, l'attaque contre les tribunaux en 2019, maintenant la campagne contre l'Église apostolique arménienne...
Il est clair que pour faire avancer « l’agenda » de ces insurrections, Pashinyan a besoin de traîtres, de « marchands », de diviseurs, de fauteurs de troubles, de personnes à deux visages. Bien sûr, il les trouve et les utilise pour atteindre ses objectifs. Selon cela, Pashinyan se sent bien quand il y a des chocs, quand le public a des perceptions émotionnelles, quand l'ambiance est à la tension émotionnelle.
Dans ces conditions, le jugement et le bon sens reculent. Pourquoi fait-il ça ? Nous pensons que tout a une explication très simple. Dans les conditions et l'environnement d'humeurs émotionnelles et choquantes, il est beaucoup plus facile de « broyer » toute chose incompréhensible et inadéquate.
En d'autres termes, ce que n'importe quelle société rejetterait raisonnablement dans un état d'esprit calme, dans un environnement stable, elle rejetterait en outre la personne qui propose et fait de telles choses, dans des conditions d'explosion émotionnelle, de chaos et de confusion qui peuvent être « digérées ».
Dans l'ensemble, Nikol Pashinyan ne dirige pas le pays depuis plus de 7 ans, mais il ne cesse de provoquer le chaos, entraînant des bouleversements successifs et maintenant l'État et la société dans un état de stress constant. Et que doit-il faire s'il comprend lui-même parfaitement que dans des conditions par ailleurs normales et calmes, il est tout simplement vaincu ? Et, pour rester « sur la vague », il s'engage sur le chemin du chaos. Le problème est que le nombre de personnes disposées à aller dans la même direction que lui a considérablement diminué, ce qui laisse espérer que nous finirons par sortir de ce cauchemar de longue durée. Mais il y en a encore. Malheureusement, il y a...
Détails dans le numéro d'aujourd'hui du quotidien "Past"








