Le quotidien "Fact" écrit :
Pour les autorités du moment, qui ne connaissent que des échecs totaux dans tous les domaines, le seul sujet d'« éloge » reste l'asphalte. Oui, un sur les marquages asphalte. En ce qui concerne ce dernier point, bien sûr, il ne s'agit pas en grande partie ou pas du tout de marquages, mais la question de l'asphalte est "permanente pour Pashinyan et son gouvernement". Dire qu'ils n'ont pas de place pour « faire l'éloge » sur ce sujet sera très injuste. Mais le problème est qu'un certain nombre de lieux importants ont été laissés de côté dans les opérations "Asphalt PIAR" des autorités.
Par exemple, quiconque a visité le complexe du monastère de Haghartsin confirmera qu'après cela, il a pu réparer une voiture avec de lourdes dépenses financières. Il suffit de tourner sur la route Dilijan-Ijran jusqu'à la belle route menant au complexe monastique, la série interminable des "Darupos" commence. Le court passage à travers le village, tous deux d'environ 9 km à travers la forêt, vient d'être délabré, et à certains endroits, la route est tellement rétrécie qu'il faut les croiser et ne pas tomber dans la gorge. D'un autre côté, surtout les samedis et dimanches, comme il y a une grande accumulation de voitures à proximité du complexe monastique, les conducteurs laissent parfois leur voiture sur la route et marchent 1 à 2 km. Comme les voitures, la « gare » complique la circulation.
Et aucune patrouille n’a réglé cette situation. Bref, peu importe à quel point les autorités ont mis en garde l’Église apostolique arménienne, dans ce cas il s’agit avant tout de la route qui mène au tourisme. Par exemple, dimanche dernier, notre journaliste a vu de nombreux touristes et chauffeurs transporter ceux qui se rendaient au monastère de Haghartsin en général.
Il ne s’agit pas d’une citation publique.