Le quotidien "Fact" écrit :
Le ministère de l'Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports propose d'apporter un amendement à la loi « sur la langue ». Par arrêté n° 164 du 25 octobre 1995 du chef de l'Inspection nationale des langues du gouvernement, la composition et la charte du Conseil suprême de l'arménien ont été approuvées, selon lesquelles le Conseil suprême de l'arménien a développé et défini le libellé, la terminologie , la construction des termes, la translittération, l'orthographe et la ponctuation des principes de régulation arméniens modernes, discute et résout les questions linguistiques controversées, fait un choix entre les doubles applications, prend une décision. En 2007, par arrêté du Ministre de l'Éducation et des Sciences, le Conseil suprême de la langue arménienne a été rebaptisé Conseil de terminologie de la langue arménienne et a continué à exercer les fonctions du Conseil suprême de la langue arménienne. En 2006, sur la base des travaux du Conseil suprême de la langue arménienne, la collection « Répertoire terminologique et orthographique 1956-2006 » a été publiée, qui comprend des formulaires réglementés sur la base des décisions du conseil. Ils ont pour importance de normaliser linguistiquement la terminologie, l'orthographe et la ponctuation de la langue arménienne et sont toujours présentés de manière consultative dans les clarifications linguistiques du Comité linguistique. Les décisions du Conseil suprême arménien n’avaient pas de force contraignante. Après la publication de l'annuaire, aucune décision du Conseil de terminologie n'a été prise. Ces dernières années, la commission linguistique a principalement apporté des éclaircissements liés à des cas linguistiques individuels dans le but d'orienter le public sur la question des différents usages linguistiques. Selon l'article 6 de la loi « Langue », les pouvoirs du Comité linguistique incluent le pouvoir de réglementer la langue arménienne et d'assurer sa pleine utilisation dans toutes les sphères de la vie publique, aux fins desquelles le comité a développé le projet « Procédure pour la réglementation des concepts traduits et empruntés et des noms spéciaux dans la circulation des documents d'État". L'utilisation différente du même concept et du même nom spécial, traduits et empruntés dans différents documents et communications étatiques et publiques, donne pratiquement lieu à des interprétations erronées. Le développement du projet est dû à la nécessité de résoudre la confusion provoquée par les diverses utilisations de concepts traduits et empruntés et de noms spéciaux dans les communications étatiques et publiques. Avec l'adoption du projet, il est prévu d'ajouter une norme d'autorisation à la loi « Langue », ce qui permettra non seulement de mettre pleinement en œuvre l'autorité prévue par la loi, mais également d'initier l'adoption du projet « La procédure de réglementant l'utilisation de concepts traduits et empruntés et de noms spéciaux dans la circulation des documents d'État". De ce fait, la Commission Langue aura la possibilité d'exercer les pouvoirs prévus par la loi « Langue ».