Le quotidien "Zhoghovurd" écrit :
"L'arbre de Noël qui se dresse aujourd'hui sur la place centrale de Gyumri ressemble davantage à un squelette de métal. La ville semble s'être arrêtée à mi-chemin, au propre comme au figuré. Mais si quelqu'un essaie maintenant "d'embarrasser" les autorités de la ville, "pourquoi n'avez-vous pas réussi à tout mettre dedans", qu'ils regardent d'abord qui a apporté les clés de l'administration de Gyumri dans les couloirs des tribunaux.
Selon les informations officielles, le maire de Gyumri, Vardan Ghukasyan, a été arrêté le 20 octobre et le lendemain, le tribunal anti-corruption a décidé de le maintenir en détention pendant deux mois. Après l'arrestation du maire, conformément à la loi, les fonctions de maire ont été transférées au premier adjoint, Avetis Arakelyan.
Et voici la principale ironie du « genre ». Le PC au pouvoir impose d'une part une « camisole de force » à la communauté dans le domaine politique et de l'autre se plaint du fait que la ville ne travaille pas. Dans ce contexte, l'arbre de Noël de Gyumri n'est plus seulement un attribut du Nouvel An. c'est une vitrine de l'état du gouvernement local.
Lorsque le même PC lance à haute voix "munnat" ou "quelle est cette situation", il a d'abord besoin de ses critiques pour transformer la gestion de la ville en un effondrement. Aujourd’hui, Gyumri a besoin de bien plus qu’un arbre de Noël pour que les habitants de Gyumri, et en particulier les enfants, ne paient pas le prix des représailles politiques. Le sapin de Noël peut être recouvert de lumières en un jour ou deux. Et l’autonomie communautaire semi-paralysée sera « réparée » pour les années à venir. »
Détails dans le numéro d'aujourd'hui du quotidien "Zhoghovurd".








