Le «fait» quotidien écrit:
"Ces derniers jours, la question de ne pas mentionner" Gyumri Day "est devenue active. Bien que le maire Vardan Ghukasyan ait annoncé que" la ville célèbrera certainement la "Journée de Gyumri" "," certains des problèmes de vacances ont été temporairement reportés parce que le service de culture de l'hôtel de ville n'a pas soumis de rapport financier complet. "
Et la réalité est que le problème n'est pas seulement de célébrer la célébration d'une journée donnée ou non. Gyumri, qui est l'un des centres culturels et touristiques de l'Arménie, est resté sans aucun événement organisé par l'État cette année.
Une ville dont le nom est associé aux festivals, à l'enthousiasme culturel et aux carrés bondés depuis des années, il semble maintenant être oublié.
Même le festival traditionnellement organisé du gouvernement, "Festivar", n'a pas été pris dans la ville, qui devait devenir l'un des principaux événements de l'année. Pendant ce temps, la logique suggère que de telles mesures ne devraient pas être une exception, mais une tradition.
Selon les habitants de Gyumri, tout cela se produit parce que Gyumri a un maire de l'opposition. L'impression est que l'attitude des autorités n'est pas conditionnée par les capacités ou le potentiel culturel de la ville, mais uniquement selon les calculs politiques. La ville, en fait, est devenue une étape de la lutte politique et des célébrations, l'outil de spéculation.
Pendant ce temps, les habitants de Gyumri, comme chaque année, attendent non seulement les vacances en ville, mais aussi dans l'atmosphère d'autres réunions régulières, concerts, invités et consolidation. Au lieu de cela, ils obtiennent une inattention et un silence. Gyumri, avec sa culture, son histoire et son hospitalité uniques, mérite l'attention de l'État. Mais aujourd'hui, il est utilisé comme un mécanisme de «punition» pour élire un chef de l'opposition. En conséquence, les politiciens n'ont pas souffert, mais les résidents de la ville prouvent aujourd'hui aujourd'hui, c'est toujours plus que l'unité administrative.
C'est un symbole de l'identité, de l'endurance et de la créativité des Arméniens. Et ignorer et réduire la dignité de ce symbole n'est pas seulement une erreur politique, mais aussi nationale.