Le quotidien "Fact" écrit :
"L'un des sujets les plus discutés ces derniers jours concerne les changements de fonctionnaires dans le système judiciaire.
En particulier, des informations ont circulé selon lesquelles le nouveau ministre Srbuhi Galyan avait limogé tous les vice-ministres.
Certains détails liés à ce sujet ont été connus du journal "Past".
Hormis le fait que les vice-ministres sont nommés et révoqués non pas par le ministre, mais par le premier ministre, selon nos informations, personne n'a été limogé à l'initiative de Gal Yan.
En fait, les quatre vice-ministres ont écrit au Premier ministre de leur propre initiative et ont demandé leur révocation.
Parmi eux, Karen Karapetyan est considéré comme « l'homme » de l'ancien ministre de la Justice Grigor Minasyan dans le système.
Selon nos informations, il a mentionné à plusieurs reprises dans un cercle restreint qu'il était passé du « secteur privé » au système étatique exclusivement à cause de Minasyan, et s'il ne devenait pas ministre, il ne resterait pas en fonction. Selon nos sources, il retournera dans le privé.
D'ailleurs, selon nos informations, tant au ministère que dans les structures « connexes » avec lesquelles Karapetyan a travaillé, on essaie de faire face aux « borshasats » de ces dernières, comme ils le définissent dans le système.
Le prochain est Armenuhi Harutyunyan, qui a travaillé au ministère en commençant par les échelons inférieurs et en progressant jusqu'au poste de vice-ministre.
D'ailleurs, selon nos informations, le principal conflit avec le KP était lié au fait que lorsque l'opposition parlementaire a présenté un projet de loi selon lequel les employés des structures de pouvoir doivent passer un test de dépistage de drogue deux fois par an, Armenuhi Harutyunyan , sans consulter personne, a donné un avis négatif et a conclu.
Cela a provoqué la colère des voyous, qui se demandent s'il serait peut-être opportun d'adopter la loi, pourquoi a-t-on donné une conclusion négative sans en discuter avec eux ?
Selon nos informations, cela aurait même été dit. "Est-ce que vous nous le dites ?" Nous n'avons pas pu obtenir d'informations sur les raisons de la démission des deux autres députés. On nous a dit que l'un d'eux s'était vu proposer une réaffectation, mais n'a pas accepté.