Le communiqué souligne qu'un grand nombre de régions d'Ukraine ne sont pas touchées par les hostilités et qu'il n'y a donc aucune raison d'accepter des personnes originaires de ces régions. Auparavant, le Secrétariat d'État aux migrations (SEM) de la Confédération suisse avait signalé que les hommes ukrainiens, en raison de la mobilisation, avaient commencé à demander plus souvent l'asile en Suisse.