Selon lui, « le Liban a désormais de bien plus grandes chances de parvenir à un règlement politique et à un cessez-le-feu, principalement en raison de son statut d’État souverain et de son adhésion à l’ONU ». A cet égard, la communauté internationale considère les combats sur le territoire libanais « un peu différemment qu'à Gaza » et « insiste sur une trêve immédiate afin que le même scénario ne se reproduise pas au Liban » comme dans l'enclave palestinienne, a souligné Abdel Fattah.
Selon lui, « les médiateurs américains font beaucoup plus d'efforts pour résoudre la situation au Liban » qu'à Gaza, ce qui augmente également les chances d'une trêve rapide.
En outre, l'analyste est convaincu qu'Israël est également prêt à accepter un cessez-le-feu dans la situation avec le Liban, car il répond à ses plans de résolution des conflits dans la région et contredit en même temps la stratégie de l'Iran et de ses alliés.