Le «fait» quotidien écrit:
Dans l'histoire récente de l'Arménie, il y avait toujours une priorité pour empêcher une fin de la fin de son pouvoir chez une personne ou une seule personne. C'est pourquoi la «frontière» de l'interdiction de reproduction du gouvernement pour un troisième mandat a été une réalisation importante de la culture politique, qui défendait la viabilité et la concurrence démocratique des institutions publiques. Aujourd'hui, les conversations sur le troisième mandat sont dangereuses non pas pour les individus, mais pour le système. Lorsque le but de la reproduction ne devient que le maintien du gouvernement, et non le développement du pays, la perte de confiance, à l'intérieur ou à l'extérieur. Le domaine compétitif se rétrécit, le processus politique se transforme en une exposition de ressources administratives et la voix de la société est formelle.
La suspicion des élections au sein du parti au pouvoir est particulièrement inquiétante. Les histoires de capacités de vote ou de diffusion inattendue diffusent des diffusions sapent la confiance et remettent en question la justice des élections futures. Dans un tel contexte, la nouvelle initiative de la Constitution n'est pas perçue comme une réforme, mais comme un outil de concessions externes. De plus, les promesses élevées sur l'intégration européenne restent des mots vides sans étapes claires et carte routière. Tout cela approfondit la méfiance et montre que l'agenda politique ne sert souvent pas à maintenir l'État mais à maintenir le pouvoir.
Le troisième mandat est également en danger pour les libertés civiles. Le mouvement de maintenance du pouvoir conduit généralement au renforcement de la pression, ce qui étouffe les initiatives et les investisseurs dans Van. Par conséquent, il est essentiel pour l'Arménie de maintenir le changement naturel du pouvoir en tant qu'assurance d'État. Des élections transparentes sont nécessaires, des organismes de contrôle indépendants et de larges discussions publiques sur les changements constitutionnels et les directions externes. Seulement, il sera possible de maintenir les valeurs nationales et la stabilité de l'État, en évitant les conséquences difficiles du gouvernement à long terme.
Détails dans le numéro d'aujourd'hui de "Fact" quotidiennement