Le journal "Hraparak" écrit :
"Après la célèbre séance d'"autoflagellation", certains membres du Parti communiste ont perdu espoir, pensant que Pashinyan garderait Argishti Kyaramyan, chef de la commission d'enquête, avec ses dents et ne le punirait pas pour son comportement indécent. à l'Assemblée nationale.
Le fait est qu'il a réprimandé l'équipe : il suffit de parler dos à dos, de laisser Kyaramyan tranquille, de ne pas donner d'interview contre lui 24h/24 et 7j/7.
L'ordre du jour de la session ordinaire de l'Assemblée nationale qui s'ouvre aujourd'hui comprend deux projets : « Contre Kyaramyan ».
D'une part, un mécanisme spécial de responsabilité disciplinaire sera établi pour les chefs des organismes d'enquête et leurs adjoints, car notre législation n'a pas défini de réglementation particulière pour soumettre les chefs et adjoints de ces organismes à la responsabilité disciplinaire.
Deuxièmement, l'Assemblée nationale veut rendre compte par la loi aux chefs du Comité central, du Comité anti-corruption, au même titre que le procureur général, le ministère de l'Intérieur, le président de la République d'Arménie et d'autres. les fonctionnaires sont responsables.
Les auteurs du projet sont le président de l'Assemblée nationale Alen Simonyan et un groupe de membres du PC. D'ailleurs, après les auditions bien connues, dans le cadre de la procédure initiée par l'incident Kyaramyan-Aghazaryan au sein du Comité anti-corruption, le fils. du député du CP à l'origine du conflit et du comptable de son entreprise ont également été interrogés.
Mais un "stop" a été donné au processus entamé contre les membres du PC. nous avons écrit que le jour de l'audience, un groupe de députés ayant prononcé des discours durs contre Kyaramyan a été invité à la commission de contrôle du parti.
Nous parlons de Hovik Aghazaryan, Narek Zeynalyan, Lusine Badalyan et Arpi Davoyan.
Jusqu'à hier, la commission n'avait engagé de procédure disciplinaire à l'encontre d'aucun d'entre eux et ne l'avait pas transmise au ministère."