Le quotidien "Fact" écrit :
Beaucoup de gens pensent que Nikol Pashinyan a commencé à marcher depuis Gyumri et que dimanche dernier, il a mis fin à son règne à Gyumri, subissant un échec total. Il y a trop de faits pour de telles opinions.
Tout d'abord, si la fausse "messe" de Hovhannavank donnait l'impression d'un mini-rassemblement, alors les dimanches suivants, un nombre comparable de personnes n'était pas prévu, même pour un très petit rassemblement, et à Gyumri seuls des représentants des structures de pouvoir et quelques voyous étaient présents. En conséquence, on avait l'impression qu'une réunion secrète avait eu lieu dans l'église des Sept Plaies.
Ce n'est pas un hasard si « l'anti-liturgique » de Nikol Pashinyan a déjà reçu le nom de « kpatarag ». De plus, en raison du comportement élevé du clergé du diocèse de Chirak, digne d'un véritable ecclésiastique, et de son dévouement à l'Église apostolique arménienne, Nikol Pashinyan a dû faire venir des prêtres "exprès", ouvrir de force la porte de l'Église et mener la "contre-liturgie" sans accessoires appropriés.
En outre, les habitants de Gyumri ont montré leur véritable attitude envers les hypocrites, ainsi que le « clergé » qui a trahi le Saint-Père, l'Église, après quoi ces dernières ont dû fuir rapidement.
En outre, les noms de Sa Sainteté le Patriarche et de Mgr Mikael Srbazan, chef du diocèse de Shirak, ont été à nouveau cités par plusieurs citoyens de l'Église. D'ailleurs, après l'annonce du nom de Hovhannes Ishkhanyan, le Catholicos, dans l'église Saint-Sargis d'Erevan, nous avons informé que, selon nos informations, cela aurait un effet boule de neige et que dans un avenir proche, les forces d'opposition seront davantage organisées pour mener de telles actions.
Et voilà, le suivant était déjà à Gyumri. D'ailleurs, selon nos informations, la jeune fille qui a appelé Vehapar et qui a été emmenée hors de l'église par les forces de l'ordre, est une représentante de la structure de Gyumri de l'association civile nationale "HayaKve".
Détails dans le numéro d'aujourd'hui du quotidien "Past"








