Le quotidien "Fact" écrit :
L'agenda public et politique de l'Arménie a trouvé une place particulière aux appels à « l'unité », à « la lutte » et à « construisons une nouvelle Arménie ». L'idée de s'unir et de s'unir, bien sûr, est la bienvenue, mais le processus de transition entre les appels est incomparablement plus compliqué. L’idée d’unification n’a pas dépassé les appels, et nos compatriotes, manquant d’amère expérience, n’ont pas été impressionnés depuis longtemps. Toutes sortes d’appels similaires ont déjà perdu de leur poids car ils n’ont pas de cibles réelles et réelles. Et quand il n’y a pas d’action particulière, les paroles les plus impressionnantes sont même la poussière du premier vent.
Le professionnalisme et l'expérience ont finalement été très importants dans le contexte du pouvoir politique actuel, et parallèlement aux appels à la consolidation, les réflexions sur le système de gestion du pays doivent être impliquées et peuvent être impliquées. Cette idée n'est pas nouvelle, mais elle est toujours restée au second plan, laissant la place aux émotions, aux ambitions personnelles et au « contrôle » du parti. Il est clair que pendant des années, l’opinion publique s’est nourrie du mythe selon lequel « la politique est une sale affaire ». En conséquence, les vrais experts sont restés loin de la politique, ne voulant pas associer leur nom à des « sales actions ». Au lieu d’eux, le champ politique est inondé d’une foule de « passants » accidentels et de sauveurs autoproclamés. Tout le monde sait déjà que l’État a besoin de technocrates. Mais lorsque ces appels se font entendre, la question se pose. L’Arménie est un petit pays et il n’y a pas beaucoup de vrais professionnels, c’est le moins qu’on puisse dire. Par conséquent, une même personne peut voir différentes forces politiques dans son futur gouvernement, et c’est naturel. Cela ne témoigne pas de la pénurie de personnes compétentes et expérimentées dans la compétition, mais dans le système politique. Cependant, le problème n’est pas seulement leur nombre, mais aussi leur attitude.
Si l'on se rend compte que le management sans professionnels ne peut pas être efficace, il ne faut pas appeler à des appels sans réponse, mais exprimer leur existence, les mettre en valeur, en parler, en parler, persuader. Leur place devrait être à la table de planification des décisions de l’État, et non en tant qu’observateur. Vous n'avez pas besoin d'éviter ce sujet. Il faut chercher jour et nuit, reconnaître et impliquer les personnes capables de résoudre un vrai problème, pas agréable de parler. La terre construit ceux qui savent, pas ceux qui crient pourquoi.
Si nous voulons vraiment avoir un État efficace, il faut qu’il mette fin à la gestion aléatoire. La politique ne s’éclaire pas par des slogans, mais par la qualité. Et la qualité vient de là, là où se trouvent la connaissance, l'expérience et la responsabilité.