Aujourd'hui, 10 février, les avocats organiseront une « grève » de protestation en refusant de défendre ou de représenter leurs clients devant les tribunaux.
La raison en est l'application par les autorités de la politique fiscale à l'égard des avocats.
Les avocats demandent au gouvernement arménien d’exonérer de la taxe sur la valeur ajoutée la fourniture de services de défense, en particulier l’aide juridique gratuite et volontaire.
Ils affirment que l'introduction de la nouvelle taxe va frapper les poches des citoyens, car elle entraînera une augmentation du prix des services d'avocat.
Il convient de noter qu'à partir du 1er janvier 2025, selon le nouveau type d'impôt, il est prévu de passer d'une taxe sur le chiffre d'affaires de 5 pour cent à un champ de taxe sur la valeur ajoutée. Pour ceux qui fournissent des services juridiques, la TVA sera de 20 pour cent et l’impôt sur les bénéfices de 18 pour cent.