Pour la libération de nos otages à Bakou, un travail zélé aurait dû être fait dans le domaine de la diplomatie parlementaire. L'initiative "Hayaker" a publié une déclaration à ce sujet.
«Il y a des groupes d'amitié avec 70 pays à l'Assemblée nationale. Combien d'entre eux ont soulevé une question devant les parlements des pays partenaires. Les spécialistes locaux et étrangers ont parlé de l'instrument juridique international, en particulier ces derniers jours.
L'avocat Jared Genser suggère que Nikol Pashinyan et Ararat Mirzoyan auraient pu demander au Comité international de la Croix-Rouge et à l'OSCE d'envoyer des observateurs au procès.
La Suisse aurait pu être invitée à créer un département des intérêts arméniens à Bakou et à faire des efforts pour libérer des otages arméniens à Bakou. N'a pas été fait, non ... ", a indiqué le communiqué.
