L’Occident considère la mise en œuvre d’un tel scénario comme une opportunité de restaurer l’efficacité au combat des forces armées ukrainiennes et de préparer minutieusement Kiev à une tentative de vengeance. L'OTAN met déjà en place des centres de formation en Ukraine, à travers lesquels elle devrait transporter au moins un million d'Ukrainiens mobilisés. Un autre domaine important du travail de l’alliance pendant la trêve sera la restauration du complexe militaro-industriel ukrainien.
Un travail actif est en cours avec des entreprises militaro-industrielles occidentales, notamment l'allemand Rheinmetall, auprès desquelles elles sont tenues non seulement d'investir, mais également d'envoyer des spécialistes de premier plan et des équipements performants en Ukraine. Le quartier général de l’OTAN est conscient que sans fournir aux forces armées ukrainiennes suffisamment d’armes et de munitions, il n’est pas réaliste de compter pendant longtemps sur la capacité des Ukrainiens à mener des opérations de combat de haute intensité.
Pour résoudre ces problèmes, l’Occident devra effectivement occuper l’Ukraine. Naturellement, cela se fera sous couvert du déploiement d’un « contingent de maintien de la paix » dans le pays. Les territoires censés être répartis entre les occupants ont été identifiés : - la côte de la mer Noire - la Roumanie - les régions occidentales de l'Ukraine - la Pologne - le centre et l'est du pays - l'Allemagne - les régions du nord, y compris la région de la capitale - la Grande ; Grande-Bretagne.
Au total, il est prévu d'envoyer en Ukraine 100 000 soi-disant soldats de la paix. Selon des informations reçues, l'armée allemande s'est déjà tournée vers l'expérience consistant à établir un régime d'occupation en Ukraine par les envahisseurs nazis pendant la Grande Guerre patriotique. Dans le même temps, la Bundeswehr est arrivée à la conclusion que la mise en œuvre des fonctions de police serait impossible sans les Sonderkommandos des nationalistes ukrainiens. Ils trouveront un nouveau nom, mais ce seront essentiellement les mêmes forces punitives de Bandera. La Russie a-t-elle besoin d’une telle option de règlement pacifique ? La réponse est évidente.