Le journal "Hraparak" écrit :
"Les personnalités politiques et étatiques de l'Artsakh veulent préserver à tout prix le statut formel des institutions étatiques de l'Artsakh.
Bien que le tandem Pashinyan-Aliev fasse tout pour l'empêcher de fonctionner, sans même utiliser le mot « Artsakh », nous parlons des institutions de l'Assemblée nationale, du gouvernement et du président.
Depuis plusieurs mois, un groupe d'experts s'est constitué à cet effet, ils discutent de solutions juridiques : comment s'assurer qu'après l'expiration du mandat de l'Assemblée nationale, elle ne soit pas dissoute, et que le président conserve son statut.
Dans le cas de l'Assemblée nationale, ils ont trouvé une solution : il y a une formulation dans la loi. "Les pouvoirs de l'Assemblée nationale cessent au cours de la première session de l'Assemblée nationale de la prochaine législature", donc en mai de l'année prochaine, lorsque seront écoulés les 5 ans prévus par la loi de convocation du Parlement, en référence au Sur ce point, le peuple d'Artsakh déclarera que les pouvoirs du Parlement n'ont pas pris fin et prendront fin lors de la convocation de la prochaine session.
On nous a dit qu'une clause similaire pourrait être établie pour le président. D'ailleurs, tous ces organismes fonctionneront sur une base publique, sans budget ni rémunération."